vendredi 24 juillet 2015

Récupérer les données d'un disque dur formaté avec TESTDISK

Si vous avez perdu partition ou étrange problème avec vos partitions de disque dur, exécuter TestDisk pour récupérer vos données. TestDisk détecte de nombreux système de fichiers NTFS, y compris FAT12, FAT16, FAT32, exFAT, ext2, ext3, ext4, Btrfs, BeFS, CramFS, HFS, JFS, Raid Linux, Linux Swap, LVM, LVM2, NSS, ReiserFS, UFS, XFS. C'est un logiciel précieux que chacun devrait avoir en bibliothèque au cas où… (un grand bravo au passage à son développeur Christophe Grenier).

Si TestDisk n'est pas encore installé, téléchargez-le. Extraire les fichiers de l'archive, y compris les sous répertoires

Creation d'un log

Choisir Create pour créer un fichier log contenant diverses informations techniques et résultats produits par TestDisk. S'il existait, le fichier sera écrasé.
Append permet d'ajouter au fichier log les résultats de l'opération courante aux résultats précédents.
None: aucun log n'est créé, utile si vous utilisez TestDisk depuis un média en lecture seule (CD, DVD...) et que vous n'avez nulle part où créer ce fichier.

Choisir son disque

TestDisk explore en 2 ou 3 secondes les données du BIOS et/ou de l'OS (« please wait ») puis affiche les disques durs retrouvés sur le système ainsi que les unités externes et les clés USB :
Utiliser les touches fléchées haut/bas pour sélectionner le disque avec les partitions perdues ou un système de fichier endommagé.
Appuyer sur la touche Entrée pour continuer.

Sélection du type de la table des partitions

Sélectionner le type de la table des partitions, en principe la valeur par défaut est la bonne, car TestDisk effectue une auto détection.
par les flèches haut bas sélectionner [Intel] (sauf exception) et appuyer sur Entrée : ceci vous amène dans la fenêtre de menu principal de Testdisk où figurent les différentes commandes et options.

Menu de TestDisk

Sélectionner le menu Analyse (menu par défaut) et appuyer sur la touche Entrée pour vérifier la structure de la table des partitions.
Le contenu de la table des partitions est affiché. Remarquez que les partitions effacées sont absentes de cette liste, des problèmes peuvent être signalés.

La première partition est listée deux fois ce qui indique que le système de fichier est corrompu ou que l'entrée de table de partition est invalide,
Invalid NTFS boot indique plus clairement que le secteur de boot NTFS est défectueux, il s'agit donc d'un système de fichier corrompu.
Seule une partition logique nommée Partition 2 est présente dans la partition étendue, une partition logique est donc manquante.
Confirmer avec Quick Search pour continuer

Recherche rapide des partitions

Durant la recherche rapide, TestDisk retrouve deux partitions dont la partition manquante nommée Partition 3.
Mettre en surbrillance cette partition et presser la touche p pour lister les fichiers (Utiliser q pour quitter et retourner à cet écran).
Tous les répertoires et les fichiers doivent être correctement listés.
Appuyer sur la touche Entrée pour continuer.

Réécrire la table des partitions ou rechercher plus de partitions?

Si toutes les partitions ont été trouvées et que les fichiers sont correctement listés, sélectionner Write dans le menu pour écrire la nouvelle table des partitions. Le menu Extd Part (si présent) vous permet de jouer sur la taille de la partition étendue: elle peut utiliser la totalité de l'espace disponible ou bien le minimum requis.

Récupération de la table des partitions

Il est désormais possible de réécrire le partitionnement: table des partitions et partitions étendues.
Sélectionner Write, valider puis confirmer l'écriture avec y

lundi 20 juillet 2015

Les meilleurs extensions de google analytics pour wordpress

Inutile d’être un gourou de Google Analytics ou Xiti, un expert du " tagging " des contenus pour avoir une idée précise de qui consulte quoi sur votre site WordPress. De multiples extensions existent aujourd’hui pour simplifier la pose des " tags " de tracking sur votre site. Des extensions qui pour la plupart d’entre elles délivrent des données de synthèse directement dans l’interface utilisateur de WordPress.


1-Jetpack


Jetpack est une extension de type couteau Suisse qui apporte une impressionnante série de fonctionnalités additionnelles au CMS open source. Intégration aux réseaux sociaux, gestion d’abonnements mail,  notifications, formulaires... ainsi qu’un volet statistiques. Celui-ci est moins complet qu’un service spécialisé, mais beaucoup plus simple d’accès qu’un Google Analytics, par exemple. Nombre de pages vues, sites de provenance, billets et pages les plus vus, mots clés les plus fréquemment recherchés et zones géographiques des visiteurs, le plugin livre de nombreuses métriques qui seront précieuses tant pour le webmaster éditorial que les contributeurs.

2-Google Analytics by Yoast


Proposé en mode Freemium, le plugin Google Analytics édité par Yoast a été téléchargé à près de 7 millions de reprises. C’est l’une des références en Analytics dans la galaxie WordPress. Disponible en 11 langues, dont le français, il est proposé en version limitée gratuite ou en version Premium au tarif de 89 $ pour un site, 169 $ jusqu’à 5 sites, et 329 $ pour 20 sites. La version de base permet une installation du tag "Google Analytics". Elle offre des outils de mesure d’audience basiques intégrés à l’interface WordPress ainsi que la détection des erreurs 404. Seule la version payante permet un tracking avancé, et notamment d’obtenir le nombre de pages vues auteur par auteur ou les détails de fréquentation en fonction du type de billet.

3-WP-Piwik


Plateforme de mesure d’audience open source, Piwik peut être déployé très simplement sur une plateforme de type LAMP ou utilisé au moyen des services cloud. André Bräkling, un consultant allemand, a créé un plugin qui permet d’intégrer ses fonctionnalités à WordPress très simplement. Via cette extension, il est possible d’utiliser soit une installation Piwik installée sur serveur, soit l’un des services Piwik en mode cloud. A la clé, on dispose d’informations très complètes sur la fréquentation du site au niveau de l’interface WordPress. Piwik est certainement l’une des meilleures solutions open source disponible, et une solution performante pour ceux qui ne veulent pas avoir recours à un service de mesure d’audience externe.

4-Google Analytics Dashboard for WP


L’extension vient placer un widget sur le tableau de bord d’administration de WordPress. Ce composant permet d’accéder à un grand nombre de visualisations disponibles sous Google Analytics. Parmi elles la fréquentation du site, mais aussi l’origine géographique des visiteurs, les principaux canaux d’apport de trafic. Plus original, on peut disposer de l’audience générée dans le temps par chaque billet, via une icône qui vient se placer dans la liste des billets. Une fonction très intéressante et bien plus simple d’accès qu’avec Google Analytics.

5-Clicky Analytics


Clicky est un service de mesure d’audience qui vient se placer en concurrence de Google Analytics ou du Français AT Internet. Il connait un certain succès avec près de 859 000 webmasters utilisateurs. Le service est gratuit jusqu’à 1 million de pages vues par jour. Alin Marcu, développeur chez DeConf, a créé une extension Clicky Analytics qui permet d’intégrer ce service de mesure d’audience alternatif à WordPress. Parmi ses atouts, Clicky se distingue par son fonctionnement temps réel et des statistiques très détaillées. En outre, l’Américain a intégré des fonctions additionnelles intéressantes telles que les "Heatmaps" des actions des visiteurs ou l’envoi d’alerte en cas d’indisponibilité du site.

6-Woopra


Le californien Woopra propose un service de mesure d’audience avec des fonctions avancées comme, par exemple, l’analyse des flux de comportement des utilisateurs, leur origine...  Des fonctions tout à fait comparables à celles de Google Analytics. Toutefois, la valeur ajoutée de Woopra n’est pas là. Le service permet surtout de lier les données de fréquentation à de multiples services Internet ou cloud. Une trentaine d’intégrations sont d’ores et déjà disponibles. On peut suivre ainsi l’activité d’un client Magento sur Salesforce, WordPress, MailChimp, Google Drive, Box, etc. L’approche est très puissante puisque pour un utilisateur, l’entreprise peut obtenir en temps réel les interactions sur tous les dispositifs online à sa disposition.

7-Analytify


Extension basée sur Google Analytics, Analytify se démarque par la simplicité de ses tableaux de bord, suffisamment simples à lire même pour des non-spécialistes du web.  Temps réel, ils affichent l’origine des visiteurs, les mots clés, les pages où ils ont commencé leur navigation, les pages où ils ont quitté le site. Le référencement des articles est facilité via l’affichage de la fréquentation au niveau de chaque billet, chaque page statique, avec les caractéristiques des visiteurs, le taux de rebond, l’impact des réseaux sociaux, etc. Les tarifs affichés par Analytify sont de 29 $ pour le suivi d’un site, 49 $ pour 3 sites, 99 $ jusqu’à 10 site puis 199 $ jusqu’à 100 sites. Enfin, un addon Woocommerce est disponible pour cette extension.

8-Google Analyticator


Connecter un site WordPress sans vouloir placer " à la main " le tag Google Analytics dans son thème, c’est ce à quoi aspire Google Analyticator. Outre la mise en place du tag Google Analytics ou sa nouvelle version Universal Analytics, cette petite extension se contente d’afficher un widget sur le tableau de bord. Le composant Google Analyticator synthétise l’évolution du nombre de visiteurs sur les dernières périodes ainsi que la liste des billets qui ont généré le plus de visites. Il est possible de modifier la période d’affichage, mais c’est là sa seule souplesse. Pour en savoir plus, il faut aller sur Google Analytics.

Les mises à jour de la semaine

Microsoft Office 2016 Preview

À quelques jours de la sortie officielle du nouveau système d’exploitation de Microsoft, la firme de Redmond propose les dernières mises à jour pour Microsoft Office 2016 Preview avant la version finale qui devrait arriver en même temps que Windows 10.
Alors que la suite bureautique n’avait pas subi de mise à jour sur Mac depuis Office 2011, les utilisateurs peuvent désormais tester les nouveautés apportées à Word, Excel, PowerPoint, Outlook et OneNote sur leur machine Pommée… à condition toutefois d’être abonné Office 365.

Office 2016 Preview pour windows
Office 2016 Preview pour Mac

Adobe Flash Player

Flash Player est dans la tourmente. Adobe a publié pas moins de trois mises à jour critiques en moins d’une semaine pour boucher des failles zéro day. Le plugin qui a fait les beaux jours d’Internet il y a plusieurs années est de plus en plus mal aimé et délaissé au profit du HTML5. Plusieurs grands acteurs du web ont par ailleurs demandé son arrêt définitif. Mozilla Firefox bloque désormais par défaut le lecteur multimédia pour stopper toute contamination des machines sur lesquelles il est installé. Facebook, par le biais de son responsable sécurité, demande tout simplement à Adobe d’arrêter les frais et d’annoncer une date de mise à mort du plugin. En attendant, Flash Player reste indispensable pour continuer à profiter de certains contenus multimédias sur la toile.

Télécharger Adobe Flash Player 18.0.0.209 pour 64bits

Source: 01 net

Mauvaise connexion Wi-Fi : quelles en sont les causes et comment l'éviter ?

Imaginons que vous êtes chargé de choisir une solution Wi-Fi. Si la connexion est excellente, vous êtes un héros. Mais si les performances sont mauvaises, les utilisateurs se plaignent. Voici les cinq causes d'une mauvaise connexion Wi-Fi et les manières de l'éviter.


Cause n°1 : un nombre de radios 5 GHz insuffisant

Vous aurez besoin à la fois de radios 2,4 GHz et 5 GHz au niveau de vos points d'accès. En effet, les appareils sans fil récents peuvent se connecter aux deux types de radios, alors que les modèles plus anciens peuvent uniquement se connecter aux radios 2,4 GHz. Pour éviter la congestion, un maximum d'appareils doit se connecter à la bande de fréquence 5 GHz, car celle-ci a beaucoup plus de capacités : 23 canaux disponibles, contrairement à la bande de fréquence 2,4 GHz qui n'en possède que trois.
Solution : faites correspondre le pourcentage de radios 5 GHz au pourcentage d'appareils qui les prennent en charge (il s'agit souvent de 70 à 90 % du total). Évitez les points d'accès strictement configurés avec une radio de chaque type car vous payerez pour bien plus de radios 2,4 GHz que nécessaire. Cherchez plutôt les radios « multi-états » que vous pouvez configurer en 2,4 GHz ou en 5 GHz.

Cause n°2 : un nombre de radios insuffisant dans les zones très fréquentées

Tous les appareils sans fil d'une même zone partagent la bande passante de manière égale. Par conséquent, si un seul appareil se connecte dans un auditorium, il obtient 100% de la bande passante. Si 10 appareils se connectent, ils ont chacun 10% de la bande passante. Lorsque 200 appareils se connectent, une portion insignifiante de la bande passante correspondant à 0,5 % leur est affectée. Cela pose problème : quel est l'intérêt de pouvoir connecter 200 appareils à un seul point d'accès si l'expérience utilisateur est terriblement lente ?
Solution : lorsque les fournisseurs vous indiquent combien d'appareils peuvent se connecter à chaque point d'accès, demandez-leur combien de personnes peuvent se connecter tout en conservant une bonne expérience utilisateur. La réponse dépendra des activités de vos utilisateurs, ce qui nous amène au point suivant.

Cause n°3 : des applications gourmandes

Les performances dépendent non seulement du nombre d'appareils connectés, mais également des applications utilisées. Un réseau Wi-Fi qui fonctionne très bien lorsque 200 utilisateurs tweetent et consultent leurs e-mails peut voir ses performances s'effondrer si 20 utilisateurs regardent des vidéos haute définition en streaming.
Solution : utilisez un outil de gestion du trafic pour contrôler l'activité sur le réseau. Trouvez un outil qui vous permettra d'affecter la priorité à certaines applications et d'en limiter ou d'en bloquer d'autres.

Cause n°4 : les interférences

Certains équipements électroniques produisent des interférences qui peuvent amoindrir les performances du Wi-Fi. Il s'agit par exemple des appareils Bluetooth, des interphones de surveillance pour bébés, des fours à micro-ondes, des autres points d'accès sans fil et même des réseaux de vos voisins.
Solution : choisissez un partenaire de votre fournisseur de solution Wi-Fi pour planifier et concevoir le réseau afin de minimiser les interférences. Il pourra notamment sélectionner les bons canaux, adapter les niveaux de puissance et ajuster la direction de l'antenne.

Cause n°5 : le manque de flexibilité

Des technologies Wi-Fi plus performantes apparaissent sur le marché à intervalles de quelques années. Toutefois, si votre réseau n'est pas adaptable, vous vous retrouvez forcé de faire un choix déplaisant : soit vous remplacez le réseau plus rapidement que prévu soit vous vous contentez de moins bonnes performances.
Solution : choisissez une solution Wi-Fi que vous pouvez mettre à niveau selon les nouvelles normes en procédant à un changement de logiciel ou de matériel rapide et peu onéreux.

Ces applications qui vous facilitent la vie

WAKI

WAKI est une application qui vous propose de vous faire appeler tous les matins par un parfait inconnu, habitant n'importe où dans le monde, en guise de réveil. Pour recourir à ce que l'on pourrait qualifier de Chatroulette du réveil, il vous suffit, à l'instar d'une alarme classique, de renseigner la date et l'heure de réveil exigé.

IFTT


iftt est une sorte d'assistant qui permet d'automatiser diverses tâches quotidiennes et répétitives entre différents services Web, applications mobiles et objets connectés.

Clap to find


Vous ne comptez plus les fois où vous n'arrivez pas à mettre la main sur votre smartphone et que, celui-ci étant en mode silencieux, vos appels n'aident pas à; le localiser? Fini de tourner en rond, l'application clap to find va vous permettre d'y remédier en lancant la tonalité; de sonnerie au bout de quelques claquement des mains.

Sunrise
Sunrise est un calendrier gratuit concu pour Google Agenda, Exchange et iCloud qui se connecte à vos applications préféré pour vous permettre de rester informé sur l'ensemble des événements qui ponctuent votre journée, dans Facebook, Foursquare ou encore Todoist.

Camscanner vous permet d'analyser, de stocker, de synchroniser et de collaborer sur divers contenus à travers les smartphones, tablettes et ordinateurs. Utilisez l'appareil photo du téléphone pour scanner des reçus, des notes, des factures, des discussions de tableau blanc, des cartes de visite, des certificats, etc.

Et si le concept d'applications comme Periscope ou Meerkat pouvait permettre de sauver des vies? C'est du moins ce qu'essaie de faire WITNESS, une application qui s'apparente à un appel d'urgence dans les situations les plus périlleuses.
L'application permet ainsi d'envoyer un stream vidéo à des contacts choisis au préalable en pressant sur un bouton. Un moyen d'alerter ses proches en cas de danger ou d'incident. Ces derniers recevront alors un appel et un lien vers le site de Witness où ils peuvent regarder en live la vidéo et vous localiser sur une carte. Vous serez de votre coté alerté du fait qu'ils ont bien reçu votre message. Et n'aurez plus qu'à prendre votre mal en patience.


mercredi 8 juillet 2015

Material Design Lite: le nouvel outil pour faire ressembler les sites web à des applis Android

Ça ressemble à quoi? : Jeter un coup d'oeil
Télécharger le kit

L’année dernière, Google a dévoilé la version Lollipop de son système d’exploitation Android. Et avec cette version 5.0 de son OS mobile, il a également proposé un nouvel framwork de design appelé Material Design.

Ce nouveau framework est présenté comme une implémentation complémentaire des éléments Paper (Md) dans le framework web Polymer qui constituent des éléments Material Design. Pour rappel, Md compte 26 éléments parmi lesquels paper-checkbox, un ensemble de case à cocher en Material Design ou paper-fab, un bouton d’action flottant en Material Design. Il n’est donc pas étonnant de le voir inclure des composantes Material Design comme des boutons, des cases à cocher, des champs de saisie, ou alors une grille responsive et des champs d’arrêt qui respectent les lignes directrices de la conception d’interface utilisateur adaptative en Material Design. Il faut rappeler que Google a donné des directives sur la façon dont une application ou un site web utilise Material Design et diffuse du contenu à différentes tailles d'écran.

Comme l’explique la firme de Mountain View dans une publication de blog, MDL permet d’avoir des sites web qui ressemblent à des applis en Material Design. D’ailleurs, si vous souhaitez en avoir un petit aperçu, vous pouvez jeter un œil aux templates créés par Google et dont les codes sources sont aussi disponibles. Ci-dessous, vous avez quelques captures d’écran.

Ça ressemble à quoi? : Jeter un coup d'oeil
Télécharger le kit

Source: Google Developpers

mardi 7 juillet 2015

Afficher/Masquer les caractéres d'un mot de passe

Dans la plus part des services, l’utilisateur est forcé à taper son mot de passe deux fois pour ne pas se tromper ! Pourquoi faire perdre son précieux temps à un utilisateur, quand on peut faire plus rapide ?



Eh bien, c’est ce que nous allons voir aujourd’hui, avec jQuery !

Commencez, comme toujours à importer la librairie: 

<script type="text/javascript" src="jquery.js"></script>

Maintenant, nous allons travailler sur cet exemple :

<form>
    <label>
        Mot de passe :
<input id="password" name="password" type="password" />
    </label>

    <label>
<input id="showcharacters" name="showcharacters" type="checkbox" /> Afficher les caractères
    </label>
</form>

Passons à la partie JavaScript:

$(document).ready(function() {
    $('#showcharacters').click(function() {
        if ($(this).attr('checked')) {
            $('#password').replaceWith('
<input id="password" name="password" type="text" value="' + $('#password').attr('value') + '" />');
        }
        else {
            $('#password').replaceWith('
<input id="password" name="password" type="password" value="' + $('#password').attr('value') + '" />');
        }
    });

});

Et voilà le travail !

Ce que nous avons fait, c’est de lier l’événement « click » au checkbox, puis ensuite de vérifier, s’il est coché, ou pas. S’il est coché, on transforme le champ de type « password » en champ de type « text », et vis versa.

Bonjour Monsieur, vous paierez en liquide ou en selfie ?

MasterCard devrait amorcer un projet pilote avec 500 personnes pour développer une infrastructure destinée à valider les achats sans qu’il ne soit nécessaire d’entrer un mot de passe afin de combattre la fraude numérique. Ce programme pilote se servira des empreintes digitales mais aussi des scans du visage. Si le projet test est jugé suffisamment concluant, il pourrait être développé à une plus grande échelle.

L’une des outils dont dispose les utilisateurs de ses services est SecureCode, dont l’objectif est de vérifier l’identité d’un utilisateur avant que la transaction ne soit validée. Lorsque vous êtes prêt, une fenêtre (généralement de type pop-up) s’ouvre pour vous demander d’entrer vos mots de passe. Cette procédure, qui augmente la sécurité d’un cran, a été utilisée dans 3 milliards de transactions uniquement sur l’année passée, a expliqué l’entreprise.

Cependant, les mots de passe peuvent être oubliés, volés ou interceptés comme le reconnaît Ajay Bhalla, en tête de la division Enterprise Security Solutions chez MasterCard. « Nous voulons identifier les gens pour qui ils sont, pas pour ceux dont ils se souviennent » précise-t-il en rajoutant que « Nous devons nous souvenir de trop de mots de passe et ceci peut créer des problèmes additionnels pour les particuliers et les entreprises ».
Entrent alors en jeu les empreintes digitales et les selfies. « La nouvelle génération, qui est portée sur les selfies … je pense qu’elle trouvera l’idée cool. Ils vont l’adopter », a-t-il confié. Pour mener à bien le projet, MasterCard s’est associé avec des constructeurs de téléphone comme Apple, BlackBerry, Google, Microsoft et Samsung. Les pourparlers sont encore en cours avec deux grandes banques alors la catégorie d’utilisateurs qui devrait faire partie du projet pilote n’a pas encore été présentée. 

Comment cela va-t-il se passer ? Les utilisateurs devront télécharger l’application MasterCard sur leurs smartphones et, une fois que vous voudrez finaliser un paiement, vous aurez le choix entre deux méthodes : l’empreinte digitale ou la reconnaissance faciale. Si vous choisissez de passer par l’analyse de l’empreinte digitale, tout ce que vous aurez à faire pour valider le paiement c’est de toucher le capteur. Cette option limite donc le nombre de personnes pouvant l’utiliser puisque tous les appareils mobiles relativement récents ne disposent pas encore de cette technologie. Si vous choisissez la reconnaissance faciale, vous devrez regarder votre téléphone et clignez de l’œil une fois. Il faut dire que les chercheurs en sécurité de MasterCard ont estimé que cligner de l’œil est la meilleure façon d’empêcher un cas hypothétique où quelqu’un tiendrait une photo de vous devant la caméra pour tromper le système.

MasterCard avance qu’il ne gardera pas les informations relatives à vos empreintes digitales ou à votre visage sur ses serveurs. Tous les scans des empreintes digitales créeront un code qui va être conservé en local sur votre appareil mobile. La reconnaissance faciale quant à elle va faire une carte de votre visage, la convertir en 1s et 0s et envoyer le résultat à MasterCard. Bhalla a promis que MasterCard ne sera pas en mesure de reconstituez votre visage à partir de ces informations
Face à ce processus, certains experts en sécurité sont quelque peu sceptiques, estimant qu’il serait préférable de garder l’authentification sur l’appareil. « Je comprends pourquoi ils veulent ces données, mais non je ne l’approuve. Sur l’aspect de la vie privée c’est épouvantable – mais sur une perspective d’entreprise, je ne comprends pas pourquoi ils accepteraient ce risque ». Il faut dire que garder ces informations en un endroit (au lieu de 500 dans ce cas précis) a plus de chance d’attirer des pirates.

vendredi 3 juillet 2015

Firefox 39: la liste des nouveautés

Télécharger: Firefox



Mozilla met en ligne Firefox 39 en version finale, le navigateur Internet est proposé sur Windows, OS X et Linux. Comme à chaque mise à jour, Mozilla propose différentes nouveautés à destination à la fois des utilisateurs et des développeurs :

Parmi les améliorations les plus notables qui ont été implémentées dans la bêta figure une option pour partager les URL Hello sur les réseaux sociaux (Facebook, Twitter, LinkedIn, etc.). Dans la bêta de Firefox 33, Mozilla avait introduit une fonctionnalité WebRTC expérimentale qui permettait aux utilisateurs d'effectuer des appels audio et vidéo sans avoir besoin de télécharger un quelconque logiciel supplémentaire, fût-il une extension. La fonctionnalité a été améliorée par la suite et intégrée à Firefox 34. Mozilla a alors appelé Firefox Hello « le premier système de communication mondiale intégré directement dans un navigateur » et a assuré que les utilisateurs n’ont pas besoin de donner des informations personnelles pour pouvoir l’utiliser. Parce que WebRTC est aussi compatible avec les navigateurs Chrome et Opera, vous n’avez même pas besoin d’avoir le même logiciel que la personne que vous voulez appeler.

Pour pouvoir utiliser l’option de partage, vous devez d’abord activer vos réseaux sociaux préférés en parcourant les services pour Firefox. Cliquez sur un service que vous voulez activer puis confirmer à l’aide du bouton « activer maintenant ». Par la suite, si vous voulez partager une conversation qui a eu lieu sur Firefox Hello, choisissez votre réseau social sur la liste qui s’affiche lorsque vous cliquez sur « Partager le lien », identifiez-vous sur le réseau social si vous y êtes invité et envoyez le lien vers votre conversation. Une fois que votre correspondant cliquera sur le lien de partage, il verra une fenêtre dans laquelle il pourra cliquer sur « Rejoindre la conversation ». Le bouton de Firefox Hello passera alors de gris à bleu, vous signalant que votre correspondant vous a rejoint.



Dans le cadre du projet Silk, qui s’apparente au projet Butter sur Android, Mac OS X bénéficie d’un scrolling et des animations plus fluides. Plus de détails techniques sur l’architecture Silk sont disponibles sur GitHub.

Cette mouture intègre également le support du ‘switch’ dans ARIA (Accessible Rich Internet Applications) 1.1. Pour rappel, les ARIA définissent des façons de rendre le contenu et les applications web (en particulier celles qui ont été développées en Ajax et en JavaScript) plus accessibles aux personnes avec des handicaps.

Concernant la Developper Edition (DE) Firefox, Nicholas Nethercote, un ingénieur qualité Mozilla, a rappelé un de ses billets publiés l’année dernière sur les effets d’AdBlock Plus dans l’utilisation faite de la mémoire par Firefox en mettant en exergue deux points en particulier. Le premier stipule « qu’il y a une surcharge constante dans le fait d’activer ABP – AdBlock Plus – qui oscille autour de 60 et 70 Mo. Cela semble provenir principalement de l’utilisation mémoire supplémentaire de JavaScript, mais aussi d’une mémoire de mise en page supplémentaire ». Le second avance « qu’il y a une surcharge de près de 4 Mo par iframe, qui est principalement due au fait qu’ABP injecte une feuille de style géante dans chaque iframe. De nombreuses pages utilisent plusieurs iframe, alors cette quantité peut très vite croitre (…) sans ABP, Firefox utilise près de 194 Mo de mémoire physique. Avec ABP, ce nombre peut plus que doubler et atteindre les 417 Mo ». Il a même montré un exemple sur une page consacrée au test Vim Color Scheme (VCS) qui contenait plus de 400 balises iframe et qui a vu Firefox utilisé près de 370 Mo de mémoire sans ABP et 1 960 Mo avec ABP.

La Fondation semble cependant avoir trouvé la solution pour résoudre ce problème de mémoire avec AdBlock Plus. Il explique « la semaine dernière, le développeur Mozilla Cameron McCormack a publié des correctifs pour corriger le bug 77999, qui a été identifié il y a plus de 14 ans. Ces correctifs permettent le partage des données relatives au CSS – plus précisément, ils ajoutent des structures de données qui partagent les résultats d’un user agent d’une feuille de style en cascade – et, en le faisant, ils résolvent entièrement le second problème qui est le plus important des deux ».

Pour ses tests avec ABP, il a utilisé à nouveau la page VCS où il a observé une diminution de l’utilisation de mémoire de 3,62 Mo par document. La page en possédant 429, la réduction totale est donc d’un peu plus de 1 550 Mo, portant ainsi l’utilisation de la mémoire à près de 450 Mo. Il a également effectué des vérifications sur d’autres sites et il a observé une diminution significative de l’utilisation de la mémoire.

Télécharger: Firefox

mercredi 1 juillet 2015

Visual Studio 2015 sera disponible le 20 juillet: Android, iOS, Windows, Unity, Unreal, l'EDI promet de séduire un large panel de développeurs

La version finale (RTM) de l’environnement de développement intégré de Microsoft sera disponible quelques jours avant la publication de la version stable de Windows 10, prévue pour le 29 juillet. Visual Studio 2015 sortira avec Team Foundation Server 2015 et .NET Framework 4.6.


Microsoft se prépare à entrer dans une phase critique de son existence. Windows 10 représente un socle important pour la relance de son activité. Il s’agit d’un service unifié qui fonctionnera sur PC, tablettes, smartphones et objets connectés.

Il est important pour la firme que les développeurs et les entreprises suivent le mouvement Windows 10. Pour cela, Microsoft met à leur disposition Visual Studio 2015. Un EDI qui mise sur l’ouverture pour séduire le maximum de développeurs.

Visual Studio 2015 introduit une restructuration importante de l’écosystème. L’EDI s’ouvre au développement multiplateforme avec le langage C++, dispose d’un émulateur Android, des outils pour le développement avec le framework open source Apache Cordova, et la prise en charge de nombreux autres outils open source, dont Grunt , Gulp et npm. Il faut noter au passage que Microsoft permettra aux développeurs de porter aisément leurs applications Android et iOS sur Windows 10.

Pour les développeurs de jeux, Visual Studio 2015 offre une prise en charge des moteurs de jeux Unity, Unreal Engine, ou encore Cocos2D. Ce support est le fruit d’un partenariat de la firme avec ces studios de jeux.

L’EDI repose sur le compilateur en tant que service Roslyn, qui offre un gain de performance important et améliore la productivité, notamment pour les compilateurs C# et VB.NET, l’intelliSense, le refactoring, CodeLens, le débogage, les outils de diagnostics, etc. Il introduira ASP.NET 5, qui pour l’occasion devient open source tout comme une partie du Framework .NET.






Visual Studio 2015, Team Foundation Server 2015 et Visual Studio Online aideront les équipes à embraser le DevOps, avec une meilleure gestion agile, l’exploitation des outils Cloud d’Azure, la prise en charge de l’intégration continue, et bien plus.

Pour le lancement de Visual Studio 2015, Microsoft organise un événement en ligne le 20 juillet. Ce dernier permettra de découvrir les fonctionnalités de l’EDI. Les participants pourront également poser des questions en direct sur l’EDI aux ingénieurs de Microsoft. Une démonstration de la création d’un projet open source en utilisant les nouveaux outils et technologies de Visual Studio est également au programme.

Visual Studio 2015 sera disponible en édition Community, professionnelle avec MSDN et entreprise avec MSDN. L’édition Community disposera de toutes les fonctionnalités de l’édition professionnelle et sera gratuite pour les étudiants, les enseignants, les chercheurs, les développeurs indépendants, les associations ayant moins de 5 utilisateurs et les petites entreprises.


Source: Développez

lundi 29 juin 2015

Google veut éliminer les clics accidentels sur leurs annonces mobiles



Lorsqu’on navigue sur internet depuis son téléphone mobile, il est très facile – parfois à cause du manque de précision de nos doigts- de cliquer involontairement sur un lien ou une annonce qui ne présente aucun intérêt pour l’utilisateur. Il s’agit d’une situation irritante qui peut se produire régulièrement même avec des smartphones et tablettes de taille d’écrans de plus en plus grande.


Les clics mobiles accidentels ne contribuent ainsi qu’à détériorer l’expérience des utilisateurs, qui se voient quitter leur jeu ou leur site et être dirigés vers une autre page. Si les clics involontaires ne bénéficient pas aux utilisateurs, ils ne profitent pas non plus aux annonceurs. Ces derniers se retrouvent en effet avec un taux de clics plutôt gonflé étant donné la prise en compte des clics accidentels qui signifient qu’il ne s’agit probablement pas d’une audience intéressée par l’annonce. Google évoque en fait une étude qui évalue à 50%, le taux de clics faits par erreur ; ce qui augmente jusqu’au double le coût réel des annonceurs.

Soucieux d’apporter une expérience agréable aux utilisateurs, Google a donc apporté des améliorations de la qualité des clics mobiles, afin de réduire les clics accidentels. Ces mises à jour «rendent meilleure l'expérience des utilisateurs en les gardant à l'intérieur de leur site web ou d’une application souhaitée et en ne les envoyant pas involontairement sur une autre page », explique Pasha Nahass, Product Manager de Mobile Display Ads. « Elles bénéficient également aux annonceurs en réduisant les coûts de clics accidentels », a-t-il ajouté.

En tout, il s’agit de trois changements apportés par la firme de Mountain View. Le premier consiste à bloquer les clics qui se produisent près des bordures des annonces en images. L’idée est qu’un clic aux bords de l’image est plus susceptible d’être un clic accidentel par rapport à un clic qui est effectué vers le centre de l’image. « Nous avons identifié le bord de l'image comme une zone sujette aux clics accidentels lorsque les utilisateurs essaient de cliquer ou faire défiler le contenu adjacent. Maintenant, ils doivent cliquer sur une partie plus centrale de l'image pour accéder au site Web ou une application d'un annonceur », a écrit Nahass dans un billet de blog.

Pendant que l’utilisateur navigue sur un site mobile, une annonce peut apparaître sur l’écran de manière inattendue. Elle peut donc fait l’objet d’un clic accidentel alors que l’utilisateur essayait de cliquer sur une cible à l’endroit où l’annonce est apparue. Pour s’attaquer à ce problème, Google a défini un court laps de temps pendant lequel les annonces qui s’affichent à l’écran ne sont pas cliquables. Tout clic de l’utilisateur sur une telle annonce pendant cette période n’aura donc aucun effet. « Cela donne aux utilisateurs suffisamment de temps pour examiner le contenu d'une annonce et aide à éliminer les clics accidentels des utilisateurs qui ne s'attendent pas à voir une annonce », a dit Nahass.

La dernière mesure cible particulièrement les annonces in-app d’installation d’autres applications et jeux. Il s’agit d’annonces qui se présentent sous forme d’icônes d’applications cliquables. En cliquant sur l’annonce, l’utilisateur est dirigé vers l’application Google Play la plus pertinente. L’annonce comporte généralement un bouton fermer pour les utilisateurs qui ne souhaitent pas installer l’application. Toutefois, en cliquant sur le bouton fermer, l’utilisateur était quand dirigé vers le site de téléchargement de l’application, pour la simple raison que le bouton fermer était une partie de l’icône cliquable. Google a donc changé les choses de sorte à ce que l’icône ne soit plus cliquable, pour éviter que les utilisateurs cliquent sur l’annonce alors qu’ils essaient de la fermer. Un autre bouton permettra donc aux utilisateurs intéressés par l’annonce d’accéder à l’application.


Source: Google

Ubuntu 15.10 Alpha 1 disponible en téléchargement

Source et Téléchargement: Annonce Ubuntu

Canonical a annoncé plus tôt la disponibilité immédiate des premières versions Alpha de certaines saveurs officielles du prochain Ubuntu 15.10 (Wily Werewolf). L'éditeur précise que l’Alpha 1 de l’OS est la première préversion, et qu'une seconde préversion sera disponible pour les tests à la fin du mois de juillet. La sortie de la première version bêta est prévue pour le 27 août prochain.

Cette première version Alpha concerne les saveurs Ubuntu MATE 15.10Kubuntu 15.10,Lubuntu 15.10, et Ubuntu Kylin qui intègre chacune de nouvelles fonctionnalités. Cependant, ces changements ne sont pas considérés comme importants, car ces saveurs sont encore basées sur la version stable précédente du système d'exploitation Ubuntu 15.04 (Vervet Vivid).

Adam Conrad, ingénieur logiciel chez Canonical, affirme que les premières versions Alpha intègrent de nombreuses mises à jour logicielles qui sont prêtes pour des tests aussi larges que possible. Selon lui, les utilisateurs devraient s'attendre à découvrir un certain nombre de bogues durant la phase de test.
Selon les notes de version, il semble que Martin Wimpress et son équipe n'avaient pas eu le temps de se reposer depuis la sortie d'Ubuntu 15.04 MATE (Vervet Vivid), cela parce qu'Ubuntu MATE 15.10 Alpha 1 intègre pleins de nouvelles fonctions. Parmi les caractéristiques les plus importantes, nous pouvons citer :
  • une meilleure gestion de l'alimentation ;
  • l'intégration d'entrées de menus personnalisés pour LibreOffice Draw, LibreOffice Math, Tilda ;
  • de nouveaux fonds d'écran pour la communauté ;
  • etc.
Ubuntu MATE 15.10 Alpha 1 est livré avec un meilleur support Bluetooth A2DP, une amélioration de la lecture multimédia sur les réseaux Samba en utilisant l'application VLC Media Player, ainsi que le support de GTK+ 3 pour les thèmes Ambiant-MATE et Radiant-MATE.
Ubuntu MATE 15.10 Alpha 1 est également livré avec un meilleur support pour les appareils iOS, tels que les iPhone, iPad et iPod.

Canonical affirme qu'Ubuntu 15.10 (Wily Werewolf) sera disponible en version bêta finale le 24 septembre 2015, elle sera suivie par la sortie de la version stable du système d'exploitation Ubuntu 15.10 et de tous ses dérivés, le 22 octobre 2015.

Source et Téléchargement: Annonce Ubuntu

dimanche 28 juin 2015

50 millions de smartphones vendus pour Huawei ce semestre

2015 est une bonne année pour Huawei. Le géant chinois a en effet franchi la barre symbolique des 50 millions d’unités écoulées ce semestre, de quoi lui permettre de se rapprocher un peu plus du titre de troisième constructeur mondial.



Huawei semble bien parti pour ravir le titre de troisième constructeur mondial à Lenovo. En effet, si l’on en croit Android Authority la firme a écoulé pas moins de 50 millions de smartphones ce semestre, ce qui représente une augmentation de 47% par rapport à la même période de l’année précédente, où 37 millions de mobiles ont été vendus.

 

Ce nombre impressionnant confirme donc le succès de la montée en gamme de Huawei à l’international. La firme a pu engranger un revenu d’environ 6,9 milliards de dollars. Toutefois, ce chiffre, bien qu’impressionnant, est à mettre en perspective par rapport à la concurrence et notamment aux géants Samsung et Apple.

 

Si l’on se fie à Strategy Analytics le premier a, en l’espace d’un trimestre, écoulé pas moins de 83 millions de terminaux tandis que pour le second, c’est 61,2 millions d’iPhone qui ont trouvé preneurs. Pour ce qui est des revenus, en analysant les résultats financiers de Samsung au premier semestre, on apprend que sa branche mobile a établi un revenu d’environ 21 milliards d’euros. Alors que pour la firme de Cupertino, le bénéfice s’établit à 13,6 milliards de dollars…

Développeur Android ? Il faudra oublier Eclipse et passer à Android Studio

On s’y attendait, n’est-ce-pas ?



Si vous avez eu pour habitude de créer des applications Android avec l’environnement de développement intégré Eclipse, il va falloir vous habituer à Android Studio, l’IDE basé sur IntelliJ IDEA que Google a conçu pour le développement d’applis pour son système d’exploitation.

En effet, à la fin de l’année, la firme de Mountain View va cesser le support et le développement d’Android Développer Tools (ADT) pour Eclipse, dont le plugin ADT et Android Ant.

Google veut concentrer ses efforts sur Android Studio afin de le rendre « meilleur et plus rapide ». Pour rappel, sa première version stable 1.0 est sortie en décembre 2014. Quant à la version preview, elle était déjà disponible depuis un moment.

La bonne nouvelle, c’est qu’il est possible de migrer les projets Eclipse vers Android Studio et que Google a même produit un guide pour ceux qui ne l’ont pas encore fait.

Dans sa publication de blog, Google précise également que « les outils Android à l’intérieur d’Eclipse continueront à vivre dans la communauté Open Source, via la fondation Eclipse ».Cependant, je pense qu’il est maintenant temps d’abandonner cet IDE et de se familiariser avec Android Studio.

http://android-developers.blogspot.com/2015/06/an-update-on-eclipse-android-developer.html


 

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